Pour Ses 100 Ans, Citroën Offre Une Exposition Photo À Paris Cet Été : The World Inspired By Citroën - Rueil-Malmaison, le 18 juin 2019• Pour ses 100 ans, Citroën donne une carte blanche à sept grands photographes internationaux réunis en une exposition de 100 photos : THE WORLD INSPIRED BY CITROËN (Le monde inspiré par Citroën).• L’exposition ouvrira ses portes à La Monnaie de Paris du 9 juillet au 18 août. • Amsterdam, Paris, Tunis, Milan, New York, Buenos Aires, Tokyo : sept villes du monde où les sept artistes racontent la ville, leur ville, avec des Citroën pour personnages principaux.• Cette exposition, gratuite et ouverte à tous, est à découvrir en avant-première dès présent sur le musée en ligne Citroën Origins : http://www.citroenorigins.fr/fr/exposition/inspired-citroen Le rendez-vous du Centenaire est l’occasion pour Citroën de multiplier les formes de célébrations (lien CP calendrier) en magnifiant le passé, en mettant en scène le présent et en évoquant le futur de la Marque. Avec l’audace qui la caractérise, elle donne aujourd’hui
carte blanche à sept grands photographes internationaux pour 100 clichés réunis en une exposition « THE WORLD INSPIRED BY CITROËN » (le monde inspiré par Citroën).
« Cet été, l’exposition ‘ The World Inspired by Citroën ‘ à la Monnaie de Paris est une invitation au voyage à bord de modèles de la Marque. Elle réunit le fruit du travail de sept photographes de talent, issus des quatre coins du monde. Ils ont posé chacun un regard artistique sur Citroën dans quelques grandes villes du monde. Amsterdam, Paris, Tunis, Milan, New York, Buenos Aires, Tokyo. Avec ces 100 clichés, le résultat est un pur régal pour les yeux, une mise en lumière unique de la dimension iconique de Citroën à travers le monde ! Venez nombreux et vous comprendrez pourquoi Citroën n’est vraiment pas une marque comme les autres ! » Linda Jackson, directrice générale de Citroën.
Certains ont sublimé ces voitures, d’autres les ont inscrites dans le quotidien, certains les ont scénarisées, d’autres immortalisées, certains les ont mises dans la rue, d’autres en studio, et le résultat est aussi créatif que les modèles de la Marque qui y sont mis en scène ! A retrouver dès à présent sur le site du
musée en ligne Citroën Origins, dans la rubrique consacrée au centenaire de la Marque.
Pour célébrer cette exposition gratuite, un
catalogue collector est édité en partenariat avec le magazine IDEAT en format XXL (30 x 38 cm), 156 pages.
Le catalogue est vendu en ligne au prix de 20 euros sur
lifestyle.citroen.com, sur place pendant la durée de l’exposition à la Monnaie de Paris, ainsi qu’au
‘Rassemblement du Siècle’ organisé du 19-21 juillet à La Ferté-Vidame, dans l’Eure-et-Loir pour les collectionneurs et amateurs de Citroën. Edition bilingue français, anglais.
THE WORLD INSPIRED BY CITROËN
9 juillet au 18 août 2019
Exposition à La Monnaie de Paris
11, Quai de Conti
75006 Paris
Entrée gratuite
7 grands photographes shootent Citroën en 100 photos dans 7 villes du monde
Amsterdam • Paris • Tunis • Milan • New York • Buenos Aires • Tokyo
AMSTERDAM, Erwin Olaf« Pour moi, le succès de Citroën réside dans la silhouette de leurs voitures. En tant que Hollandais, je peux m’inspirer de leurs créations, même si rien n’est comparable à notre trésor national : la vache holstein. »Erwin est né le 2 juillet 1959, à Hilversum (Pays-Bas), dans un milieu «petit bourgeois», dit-il lui-même en français, et pas particulièrement tourné vers l’art. À 29 ans, après le photojournalisme et la publicité, il fait ses débuts artistiques avec « Chessmen », une série en noir et blanc dans laquelle il a mis en scène des personnages à la morphologie hors du commun, qui figurent les pièces d’un échiquier. La série est exposée au musée Ludwig de Cologne. Tout y est déjà : son goût de la mise en scène, la sophistication de la lumière, la sensualité, l’envie de dénoncer les a priori sociaux... En 1988, il remporte le premier prix des Young European Photographers. Sa campagne pour la marque Diesel lui a fait remporter en 1999 le Lion d’argent au festival international de publicité Cannes Lions. Erwin y montre un couple d’octogénaires… politiquement incorrects. Il recevra une nouvelle fois ce prix en 2001 pour sa campagne Heineken où bouteille et décapsuleur sont traités comme des personnages de roman noir. La même année, avec les séries « Paradise », « The Club » et « The Portraits », il montre le monde du cirque comme festif et licencieux, tout en réalisant des portraits serrés et effrayants qui dévoilent la tristesse des clowns et leur solitude. Il a donc introduit dans son travail, initialement en noir et blanc, la couleur, puis la manipulation numérique. En 2003, Erwin perd son père. En guise de deuil, il produit la série « Separation » où l’on voit une mère et son enfant qui évoluent dans un décor glacé et sans amour. En 2006, il reçoit le prix du meilleur artiste néerlandais de l’année, décerné par le magazine Kunstbeeld. En 2007, il crée la trilogie « Hope, Grief, Rain » qui évoque des univers clos à la Hopper. Une esthétique américaine des années 50, mais teintée de lumière flamande. En 2008, la fondation américaine Lucie récompense l’excellence de son travail dans le domaine de la publicité. Au fil de ses séries personnelles, il affirme son style et ses questionnements sur les différences de classe, de sexe, de race, de beauté… tout en exprimant le poids du secret. Le décor, les couleurs, la lumière et les portraits ne sont pas sans évoquer les tableaux de Vermeer. Et justement, en 2011, il reçoit le prix Johannes Vermeer pour l’ensemble de son oeuvre. En 2013, La Sucrière à Lyon lui consacre une exposition dont la fameuse série « Berlin ». Il est choisi parmi douze artistes pour dessiner l’euro néerlandais qui entre en circulation début 2014. Le deuxième volume de son livre paraît chez Aperture. Il collabore de nouveau à des campagnes publicitaires (Bottega Veneta, Vente Privée...), mais son nom est désormais indissociable des plus grandes foires d’art contemporain. En 2019, pour ses 60 ans, il multiplie les expositions dont celle, cet été, du Rijksmuseum à Amsterdam qui présente une mise en abîme de certaines oeuvres inspirées de Rembrandt, Vermeer ou Breitner.
PARIS, Sonia Sieff« C’est l’histoire d’une petite voiture qui avait un coeur humain… »Sonia Sieff est photographe et réalisatrice. Sa vocation est née à 17 ans, en voyage. Elle a abordé le métier sur des plateaux de cinéma avec des chefs-opérateurs renommés, avant de s’orienter vers la mode. Son style dénote une maîtrise et un amour de la lumière ainsi qu’une obsession de la personnalité et du corps qu’elle exprime à travers le nu et le portrait. Ces dernières années, tout en apportant sa collaboration à de nombreux magazines français et internationaux (The Telegraph, Vanity Fair, Harper’s Bazaar, Vogue Italie…), elle se consacre aussi à ses projets personnels et à ses expositions. Son premier livre, Les Françaises, est paru en 2017 aux éditions Rizzoli. À l’heure actuelle, elle réalise son premier film documentaire, qui est consacré à son père, mais aussi un court métrage sur le monde de la mode et prépare ses prochains livres photographiques.
TUNIS, Mouna Karray« Au fil des jours, dans les bus qui traversent la ville en mouvement, de ma hauteur je guette la présence familière des Citroën de Tunis au milieu des passants… »Mouna Karray est née en 1970 à Sfax en Tunisie. Elle a d’abord étudié l’art et la culture à Tunis avant de s’installer à Tokyo où elle a obtenu un master en photographie à la Tokyo Polytechnic University en 2002. Elle vit et travaille aujourd’hui entre Paris et Tunis. Mouna Karray confronte des thèmes sociopolitiques à son expérience personnelle pour explorer la construction de l’identité et de la mémoire. Ses oeuvres sont actuellement exposées au musée Zeitz MOCAA, au Cap, en Afrique du Sud. Son travail a été présenté au musée MACAAL de Marrakech, au Smithsonian National Museum of African Art à Washington, au MMK à Francfort, au MAXXI à Rome et au musée du quai Branly – Jacques Chirac à Paris. Elle a également participé à plusieurs biennales, notamment la Biennale des photographes du monde arabe contemporain, à l’IMA, à Paris, la Biennale de Dakar (Dak’Art) et les Rencontres photographiques de Bamako.
MILAN, Delfino Sisto Legnani« J’ai grandi à Milan. Ma mère a conduit une 2 CV jusqu’en 2000, mon père une DS, puis une BX GTI. Nous avions aussi une Méhari infatigable pour aller à la mer. Voici un hommage à ma ville sous forme de clichés pris depuis la fenêtre d’une Citroën. »Après avoir obtenu son diplôme d ’architecte à l’École polytechnique de Milan, il a commencé comme assistant du photographe Ramak Fazel tout en travaillant à son compte pour des magazines et journaux indépendants ou institutionnels, tels que Domus, Abitare, Elle Decor, Vogue, Icon, Apartamento, Mousse Magazine, Wallpaper, Rivista Studio, Living, La Repubblica ou Corriere Della Sera. En 2015, il crée DSL Studio, avec Marco Cappelletti, un studio photo qui s’adresse plutôt aux cabinets d’architectes, artistes, institutions et marques tels qu’OMA, Aires Mateus Arquitectos, Thomas Demand, la Fondazione Prada, Flos, l’Académie d’architecture de Mendrisio ou le MAXXI. Alternant reportage, photographie d’architecture et nature morte, son travail a été primé et présenté dans des musées et institutions tels que la Biennale de Venise, le Victoria & Albert Museum à Londres, la Triennale de Milan, le Design Museum à Londres, ainsi que dans de nombreuses galeries et expositions. En 2016, il fonde MEGA avec Davide Giannella et Gio vanna Silva : un lieu où des projets inédits et difficiles à concevoir ailleurs peuvent y être développés et montrés, sans distinction de genre, mettant l’art, l’architecture, le design, la musique, la photo, l’édition et le cinéma sur un pied d’égalité, en tant qu’aspects indissociables du panorama culturel actuel.
NEW YORK, Formento + Formento« L’appareil photographique doit être utilisé comme vecteur d’imagination. Pour la série Citroën, nous voulions créer une atmosphère et des photographies qui n’auraient jamais existé sans l’invention de l’artiste. »Formento + Formento sont connus pour leurs photographies romantiques et élégantes qui explorent les thèmes de l’amour, de la perte, de la nostalgie et du poids de la mémoire. Utilisant des mises en scèn e et des couleurs saturées, la sensualité mystérieuse de leur style révèle une fascination pour la fiction et la réalité ainsi que pour les ambiances et les textures, où le choix du lieu occupe une place prépondérante. Qu’ils tournent aux États-Unis, en Europe, à Cuba, au Mexique, en Inde ou au Japon, ils nourrissent une passion fervente aussi bien pour la photographie que pour le cinéma. Sous le nom de Formento + Formento, Richeille Formento s’occupe du style et de la direction artistique, tandis que BJ Formento maîtrise la lumière et déclenche la photo. Leurs images sont un portrait commun, un échange dans lequel les individualités des artistes s’estompent, s’imprègnent l’un l’autre. Ensemble, le duo possède une capacité à absorber l’atmosphère d’un lieu en créant des photographies cinématographiques, avec une vision qui puise dans les références du passé tout en restant contemporain et original. Retournés au Japon en 2008, ils travaillent actuellement sur une nouvelle série de 36 vues du mont Fuji. Focalisant leur attention sur l’artiste Hokusai, ils questionnent la signification de cette montagne que le peuple japonais affectionne tant. Représentés par plusieurs galeries, les artistes rassemblent un public de passionnés autour d’expositions à travers le monde. En septembre 2013, ils ont célébré la sortie de leur premier ouvrage d’art, Circumstance, publié par YK Editions, accompagné d’un court documentaire sur leur travail présenté à Paris et de leur deuxième livre publié en 2015 intitulé Cinematic Chronicles.
BUENOS AIRES, Marcos López« Ce travail m’a reconnecté avec mon enfance. Je me souviens du levier de vitesses sur le volant et du son de la 3 CV de mon père lors des voyages en famille… J’ai relié tout cela à l’identité nationale argentine : Gardel, Evita, le tango, le football… »Marcos López est un photographe plasticien reconnu comme l’un des plus importants d’Amérique latine. Ses photographies sont des mises en scène dans lesquelles il joue le rôle de metteur en scène comme au théâtre et s’inspire du cinéma, de la peinture et du documentaire classique. Né à Santa Fe en 1958, il commence à prendre des photos en 1978. En 1982, il obtient une bourse du Fonds national des arts argentins (Fondo Nacional de las Artes ou FNA) et s’installe à Buenos Aires. Il travaille sur des projets collectifs avec des photographes et des artiste s d’autres disciplines. Il collabore notamment avec des médias indépendants tels que l’Expreso Imaginario et El Porteño. En 1989, il rejoint la première classe d’érudits étrangers de l’École internationale de cinéma et de télévision de Cuba, sous la direction de Gabriel García Márquez. Il propose des ateliers et des conférences sur la production et la réalisation de son travail dans le monde entier et a publié de nombreux ouvrages tels que Retratos, Pop Latino et El Jugador. Ses photos sont présentées dans différents musées, notamment en Argentine, aux États-Unis, en Espagne, à Cuba et au Venezuela.
TOKYO, Yoshiyuki Okuyama« Anciennes ou actuelles, les Citroën se démarquent à Tokyo. J’ai exploré la ville avec la mienne, immortalisant ces moments. Elle était comme un père, un meilleur ami ou une petite amie… Je ne me lasserai jamais de cette voiture. »Yoshiyuki Okuyama est né en 1991, à Tokyo. Il a commencé par réaliser des films de cinéma et d’animation puis s’est rapidement tourné vers la photographie. Cette reproduction de la réalité représente à ses yeux un moyen simple de laisser place à l’imagination, où chacun peut voir ce qu’il souhaite. Toujours à la recherche de nouveauté, il s’inspire principalement de nouvelles rencontres et des émotions et sensations que celles-ci lui procurent. Sa découverte du travail du designer allemand Dieter Rams modifie son regard sur la photographie et l’encourage à repousser ses limites. En 2011, il obtient le prix d’excellence du 34e New Cosmos of Photography ; en 2016, il est lauréat du 47e Kodansha Publishing Culture Awards pour la photographie. Au cours des dernières années, Yoshiyuki s’est concentré sur la réalisation de fi lms, et ses travaux s’inscrivent de plus en plus dans des projets internationaux en Asie et en Europe. Il a notamment réalisé à Tokyo, en collaboration avec Hermès, une vidéo promotionnelle du ruban de soie Twillon.
La Marque Citroën Au coeur du marché automobile,
Citroën s’affirme depuis 1919 comme une marque populaire au sens noble, faisant des gens et de leurs modes de vie sa première source d’inspiration. Un esprit souligné par sa signature ‘Inspired by You’ et incarné par des voitures alliant design unique et confort de référence. Au sein des généralistes, Citroën se distingue aussi par l’expérience singulière offerte à ses clients (Citroën Advisor, ‘La Maison Citroën’, etc.). En 2018, la Marque a vendu 1,05 million de véhicules dans plus de 80 pays.
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